Montag, 26. Februar 2007

Come ritrovare il sorriso

Edit: je viens de me rendre compte que finish n'existe pas en France, il s'agit de calgonit, un produit pour lave-vaisselles, donc, qui redonne le sourire aux femmes.

Je regarde très peu la télé en Italie, heureusement! Mais hier il pleuvait et j'étais fatiguée par mon périple à Bologne, j'ai donc zapé un peu... et j'ai compris pourquoi en ce moment je n'ai pas trop le sourire: je n'utilise pas finish quantum! Tiré du site qui parle de la publicité:
Un sorriso di soddisfazione e gioia brilla sul viso di nove donne su dieci per la felicità che deriva dall’uso del nuovo Finish Quantum (un sourire de satisfaction et de joie brille sur le visage de neuf femmes sur dix grâce au bonheur qui dérive de l'utilisation du nouveau finish quantum - désolée mais je n'arriverai pas à mettre une majuscule à une marque qui fait des publicités de ce genre! La phrase n'est pas très belle en français, je la trouve tout aussi mal tournée en italien).

Est-ce qu'on en est encore là??? On dirait que oui, entre la publicité où la mère de famille parle à son balais, celle où une pieuvre (manifestement une femme au foyer, pas un homme) repasse, passe l'aspirateur tout en donne à manger à son enfant sans se plaindre parce qu'"il fait bon être à la maison" grâce à un diffuseur de parfum, celle où en mangeant un yaourt une femme non seulement "retrouve sa naturelle régularité" mais en plus gagne trois tailles de soutiens-gorge... Comme si en Italie il y avait besoin d'insister sur le fait que la place de la femme est à la maison! (bon, ok, j'exagère: la femme a le droit de sortir de chez elle, mais seulement quand elle a ses règles, et elle doit alors sauter en parachute!).

J'ai essayé d'envoyer un email pour protester mais quand j'ai cliqué sur contacts sur le site de finish, je suis arrivée sur une page qui disait fatal error! Je ne vous le fais pas dire...

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Freitag, 23. Februar 2007

Pesce al cartoccio

Merci pour tous vos gentils messages sur la redac' du mois, toutes mes excuses pour ne pas y répondre (encore?), c'est un peu le stress par ici! Mes plus plates excuses aussi à mes co-rédacteurs, je me rends compte qu'il y a plein de liens qui sont faux et je n'ai laissé de commentaire chez aucun d'entre eux, j'ai très honte! Mais...

...un voyage éclair à Paris où j'ai réussi à voir de la famille (sans trop trop m'engueuler avec eux, c'est un exploit!), des blogueurs et des lecteurs de blogs (c'est vraiment sympa ces petites réunions, j'ai bien fait d'ouvrir un blog) et même à faire un peu de shopping
...un retour sur les chapeaux de roues avec beaucoup trop de choses à faire et du retard dans le boulot
...de gros gros problèmes avec mon contrat de travail (savez-vous que le bac français n'est pas automatiquement reconnu en Italie, il faut que je fasse traduire le programme des deux dernières année d'étude avant le bac par un traducteur officiel, et cela même si j'ai un diplôme universitaire!)
...des petits soucis de santé pas graves (on espère) mais énervants et stressants
...un départ demain matin tôt pour Bologne avec 6 heures de cours au programme, une présentation (je compte sur les quatre heures de train de demain matin pour la peaufiner) et un retour dans la journée

Aiuuuuutoooo!!!

Bon, pour me calmer je vais quand-même vous parler du délicieux souper que j'ai préparé l'ot' jour (je n'ai pas pris de photos, faites travailler votre imagination!)
Depuis un moment j'entends parler de papillotes en silicone sur les blogs culinaires. Donc quand lundi j'en ai vu à Paris, j'ai décidé qu'il me les fallait absolument. Grand bien m'en a pris, j'ai fait un plat super-bon super-vite prêt dont j'ai trouvé la recette ici.
J'ai mis dans les papillotes des bouts de poisson entourés de hachis d'ail, d'échalote, d'olives et de tomates séchées, j'y ai ajouté plein de câpres mis au préalable à tremper pour le désaler, un peu de sel, du poivre, un demi jus de citron et du zeste de citron râpé, et hop, au four pendant 20 minutes (j'ai pas mis le paprika de la recette de marmiton). C'était absolument délicieux!

Cette recette m'a confirmé ma passion pour les plats salés dans lesquels on met du zeste de citron, passion découverte avec le "pollo alla ligure" dont je posterai la recette un de ces jours. Ça m'a donné l'idée de vous demander, chers lecteurs, de m'envoyer vos recettes salées qui associent le zeste de citron. Si elles me plaisent, je les testerai et je les prendrai peut-être même en photo! Une rubrique "un zeste de citron" sera même créée le jour où je saurai comment le faire.

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Donnerstag, 15. Februar 2007

La redac' du mois

Laurent, Olivier, Aurélie V, Alcib, Hervé, Hepao, Fred, Lady Iphigénia, Bergere, Ervalena, René, Bertrand, Isabelle, Nathalie, Aurélie N, Jean-Marc, bv et moi-même participons à la redac' du mois. Le principe est simple: on doit tous publier le même jour à la même heure un billet sur un argument imposé. Ce mois-ci, le sujet est "A la découverte d'un endroit que vous aimez". Mmmm... pas facile, il y a peu d'endroits que je connais vraiment assez bien pour que je m'y attache profondément. Je pense que l'endroit auquel je suis le plus attachée est la maison où j'ai passé une bonne partie de mes vacances quand j'étais petite. En y pensant, une marée de souvenirs (comme on dit en italien) m'a envahie:

Les routes rouges qu'on prend pour y arriver, puis le panneau qui indique Les Combes et le chemin cahotant où déboule souvent un lapin
Les iris tout autour de la maison, auxquelles mamie tient tellement et qu'il faut désherber si souvent
L'odeur des feuilles des figuiers qui poussent le long de la maison et la vigne vierge qui menace de l'engloutir
Les volets qu'il faut repeindre de temps en temps, chacun donnant son avis sur la couleur

Le puits. Ça fait rêver, un puits, non?
Le grenier, plein de livres de la bibliothèque rose, verte et rouge et or qui promettent des heures et des heures de lecture avide, d'araignées et de mort aux rats
Mamie qui s'affaire dans la cuisine pour préparer des repas avec des choses qu'on ne mange jamais à la maison: boeuf-carottes, poulets et rôtis, desserts, le tout accompagné de vin pour les adultes et de baguette croustillante
Le "canard" qu'on a le droit de tremper dans le café qui sort de la cafetière glougloutante
Le quatre-heure, qui est souvent l'occasion d'inviter quelqu'un: l'arrière-grand-mère qui s'appelle comme moi et qu'on vouvoie, ou les grandes-tantes (on ne sait pas très bien si on doit les vouvoyer, on essaye de contourner le problème). On prépare la table de métal blanc dehors (celle qui quand on appuie fort la main, y laisse des petites fleurs en relief), on sort les coussins pour les chaises, les bouteilles de sirop (c'est bon le sirop d'orgeat mamie?) et le muscat, les biscuits (plein de biscuits qu'on ne mange jamais en Suisse) et on s'apprête à raconter comment ça va à l'école, si on joue toujours du violoncelle, si on aime lire, et à écouter comment va Mme Truc et la cousine Bidule
Les poignées de portes: il y a celle qui a un truc qu'on soulève et qui ouvre le loquet de l'autre côté (je ne suis pas très forte en vocabulaire de portes) et qui fait un bruit si caractéristique, il y a les boutons de portes ronds qu'il faut réussir à tourner mais aussi celui en losange de l'entrée
La grande cheminée dans laquelle on fait du feu, on y fait de temps en temps griller des brochettes
Les jeux: les palets qu'on doit lancer dans la gueule de grenouilles, les puzzle sur la grande table de bois sombre, le uno, le croquet qu'on installe dehors
Le vieux pommier qui est prêt à s'effondrer depuis que je le connais, le cognassier, le grand cerisier, le chèvrefeuille bourdonnant d'abeilles, qui sent si bon
Les taupes et les lapins qui bouffent tout, les salopiauds! Même les géraniums que mamie plante près du puits
Papy qui chantonne toute la journée (et souvent la même chose, je pense à lui à chaque fois que j'entends "A toi la gloire")
Le silence, mais aussi les oiseaux qui chantent, la tondeuse de papy, les avions et les planeurs qui passent dans le ciel (des fois il y a des avions militaires qui passent en faisant un bruit de tonnerre)
Le vieux piano désaccordé, avec ses candélabres, l'ivoire qui manque sur certaines touches, et la pile de partitions émiettées
Les photos jaunies de papa, tata et tonton quand ils étaient petits, de papy et mamie quand ils se sont mariés, les aquarelles de la grande tante qui s'appelle comme moi, et celles de papy
La carrière de silex abandonnée où papy va jeter les déchets du jardin (dis papy c'est vrai qu'on peut faire du feu avec des silex?)
Les courses à Châtillons-sur-Loire, avec arrêt obligatoire au Bazar pour admirer les bagues de princesses (surtout celle avec la coccinelle!)


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Merci aux organisateurs de la redac' de m'avoir proposé de participer. Je ne sais pas si ce que j'ai écrit est intéressant pour tout le monde, mais j'ai adoré reprendre contact avec mes souvenirs des Combes.
Quand vous lirez cette redac' je serai en route pour Paris, où je vais pouvoir embrasser mes grand-parents, mes soeurs, mon filleul, tata-tonton cousin-cousines et plein d'autres personnes! Je reviens lundi soir, soyez sages d'ici-là.

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Montag, 12. Februar 2007

Madonna italiana



















D'après vous, cette Madone, elle est d'origine italienne? Macchè!

p.s. on me souffle dans l'oreillette que les commentaires ne marchent pas avec tous les browsers (c'est peut-être pour ça que personne ne commente mon post historique que j'ai mis trois heures à écrire, snifff, heureusement que Beo est là!), donc essayez avec firefox, ça marche!

p.p.s. on me dit qu'il y a toujours des problèmes avec les commentaires! Raz-le-bol! Si quelqu'un sais comment installer haloscan et veut m'aider à le faire, il sera vivement remercié!

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Samstag, 10. Februar 2007

Giorno del Ricordo

Après la "Journée de la mémoire" de la semaine dernière, l'Italie célèbre aujourd'hui la "Journée du souvenir". Pour comprendre de quoi il s'agit il faut remonter loin dans l'histoire.

Toute la zone de Venise, Trieste, l'Istrie et la Dalmatie a depuis des siècles été le théâtre de mouvements de population. Il est extrêmement difficile de savoir qui était là d'abord et qui aurait droit à la terre. A la fin de la deuxième guerre mondiale, la situation était très compliquée, avec d'une part Tito et d'autre part les Alliés qui essayaient de conquérir le plus de territoire possible. Avec le traité de paix de 1947, la région devint "Territoire libre de Trieste", divisé en deux zones occupés par les Britanniques et le Américains -zone A- et par l'armée yougoslave -zone B.
Avec le Traité de Paris, l'Italie abandonnait les territoires de l'Istrie et de la Dalmatie, ainsi qu'une grande partie des collines autour de Trieste. Un ami me racontait que la frontière entre l'Italie et la Yougoslavie avait été tracé par un avion qui lançait des sacs de sables.

Les Italiens qui vivaient dans ces régions avaient deux choix: garder leur nationalité italienne mais partir vivre en Italie en abandonner tous leurs biens, ou rester en Yougoslavie et devenir apatride, sans droits civiques et souvent au risque de leur vie: certains Italiens de la région étaient des fascistes qui avaient opprimé les populations slaves entre les deux guerres mondiales, et les exécutions sommaires ne manquaient pas.

La journée du souvenir a été instituée pour rappeler les victimes de cette époque, qui furent jetées -encore vivante, pour certaines- dans des dépressions karstiques appelées foibe (prononcer foïbè). L'Italie, qui ne voulait pas fâcher son dangereux voisin, n'aborda pas le sujet avant la mort de Tito, en 1980.

Une grande partie de la population de Trieste est aujourd'hui composée de descendants d'esuli (exilés) qui pleure encore les richesses perdues. Les propriétés abandonnées furent considérées dédommagement de guerre par la Yougoslavie, sans pour autant que l'Italie dédommage les populations. C'est un sujet encore brulant et les manipulations politiques ne manquent pas: l'Italie a souvent tendance à minimiser les erreurs commises durant le fascisme et la deuxième guerre mondiale, la Croatie jette de l'huile sur le feu et interdit aujourd'hui encore aux italiens d'acheter une propriété sur son territoire, les Slovènes ne collaborent pas volontiers quand de nouvelles foibe sont découvertes, certains réclament de l'argent, d'autres veulent leur maison, d'autres encore voudraient que l'Istrie redevienne italienne... A l'heure de l'Union Européenne, toute la haine et la rancoeur qui règnent dans cette région me surprennent beaucoup, surtout chez les jeunes générations, et j'ai été attristée de voir aujourd'hui des drapeaux italiens en berne. Si on pense que plus de la moitié des habitants de Trieste pleurent la glorieuse époque Austro-Hongroise ou l'Istrie, on peut comprendre pourquoi cette ville manque un peu de vision du futur.

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Donnerstag, 8. Februar 2007

Cinque cose che non sapete di me

Michèle m'a passé, il y a un moment déjà, un questionnaire qui se ballade sur internet. C'est marrant parce que c'était à un moment où je me demandais ce que je voulais vraiment révéler de moi-même sur ce blog. J'étais en pleine réflexion quand j'ai lu une phrase d'Oscar Wilde que Catherine cite quand elle répond à ce questionnaire: "Les questions ne sont jamais indiscrètes, mais parfois les réponses le sont". Je vais donc essayer de ne pas être trop indiscrète dans mes réponses!

1. Quand j'avais 18 ans j'ai fait un saut en parachute. En solo, hein, pas celui où on est avec un moniteur! Comme c'était aussi la première fois que je montais dans un avion, la journée a vraiment été remplie d'émotions!

2. Je peux voir un film ou lire un livre plein de fois, un mois après je ne m'en souviens plus! Ça a ses bons et ses mauvais côtés...

3. Bien que je sois musicienne, j'ai une très mauvaise culture musicale et je confonds les oeuvres classiques entre elles. Quand j'étais adolescente, j'ai fait la connaissance de personnes qui écoutaient un cd et reconnaissaient qui jouait, qui dirigeait, en quelle année la pièce avait été composée, je trouvais ça terriblement intimidant! Maintenant je m'en fous un peu de ne pas avoir ce genre de connaissances, par contre je suis en train d'essayer d'aborder d'autres types de musique (grâce à mon nouveau métier et avec l'aide de mon p'tit frère): l'improvisation ou le jazz par exemple.

4. Je suis très facilement énervée par le manque d'empathie et le je-m'en-foutisme. Dans ma tête je mijote des petites vengeances contre ceux qui se garent sur le trottoir et empêchent une maman avec poussette de passer, ceux qui jettent leurs ordures par terre, ceux qui font chier leurs chiens sur le trottoir, ceux qui mine de rien dépassent dans la file, ceux qui ne disent pas merci quand on les laisse passer etc. Si un jour vous lisez qu'à Trieste un propriétaire de 4x4 (garée sur le trottoir) a vu sa voiture ensevelie sous la merde de son chien (ramassée devant ma porte) vous saurez qui a fait le coup!

5. Je n'ai pas mon permis de conduire. C'est mon projet pour 2007, on verra si j'ai le courage de le réaliser. C'est juste que je me vois très mal au volant d'une voiture... je pense que toutes mes réflexions au sujet des trottoirs découlent de ma situation de piétonne!

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Montag, 5. Februar 2007

Orgogliosa di essere svizzera

Ce que j'aime de Trieste c'est qu'en très peu de temps on se retrouve en pleine nature, dans des paysages superbes. On peut choisir entre la mer, avec plage de sable ou de cailloux, la montagne ou les collines du Frioul, les réserves naturelles, les lagunes, les grottes remplies de stalactites et de stalagmites, que ce soit en Italie, en Slovénie, en Croatie ou en Autriche. Tout ça en faisant entre dix minutes et une heure et demie de voiture (parce qu'au niveau des transports publics c'est pas génial, il faut l'avouer).
Hier on est allés faire du ski de fond avec des amis dans la très belle vallée Valbruna, près de Tarvisio et de la célèbre montagne Montasio. En une heure et demie on était sur les pistes, avec des skis loués pour 12€ la journée, prêts à partir... sauf que moi, qui ai la nationalité suisse, je ne sais pas skier! C'est là qu'on voit que le fait d'être suisse doit avoir une certaine influence: j'ai adoré skier, je ne suis tombée qu'une seule fois (et c'était parce que dans une descente il y avait quelqu'un d'autre qui était tombé en travers de la piste), je n'ai jamais enlevé mes skis dans les montées ou les descentes et j'ai réussi à suivre les autres sans problème!
C'était vraiment une magnifique journée!

Il y avait plein de neige, du ciel bleu et du soleil, (cherchez le skieur!)



une pause déjeuner avec polenta, saucisses et vin chaud (prononcer "vine broulè") dégustées au soleil,



de magnifiques paysages,



et aujourd'hui je ne peux plus bouger! J'ai mal à presque tous les muscles de mon corps, mais non, rien de rien, non, je ne regrette rien...

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Freitag, 2. Februar 2007

La candelora

Quando vien la Candelora
dall'inverno semo fora,

ma se piove o tira vento,

nell'inverno semo dentro.



Allora, che dite? Dentro o fora?

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Donnerstag, 1. Februar 2007

Orgogliosa di essere francese

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Allez, courage les Français, vous allez voir comme c'est sympa de vivre dans un monde sans fumée! Quelle joie d'entrer dans un bar et de sentir la bonne odeur du café, de déguster un bon p'tit plat sans interférences olfactives, de ne plus avoir les yeux qui piquent sans arrêt, les cheveux et les habits qui puent! La loi anti-tabac (on pourrait l'appeler la loi protège-non-fumeurs) existe en Italie depuis deux ans et est très bien respectée, j'espère que les Français sauront être aussi sages! Je m'y suis tellement habituée que quand je suis passée à l'aéroport de Francfort à Noël j'ai été choquée d'y voir les gens fumer en présence d'enfants, de femmes enceintes, de non-fumeurs tout simplement. En Italie, le respect des non-fumeurs est devenu une habitude, les gens sortent même dehors pour fumer lors de fêtes chez des amis. Je crois que c'est un aspect de l'Italie qui me manquera beaucoup quand on habitera en Allemagne.
Je dois dire que par contre je ne suis pas très enthousiaste des trains non-fumeurs, où les toilettes se transforment vite en zone fumeur, ce que je peux comprendre: un fumeur qui voyage de Venise à Naples a le temps de sentir le manque de cigarette!

Et ne venez pas me parler du respect des libertés individuelles: quand je vais dans un restaurant en France et qu'après avoir demandé une table non-fumeur on me met à une table sans cendrier à côté des autres tables fumeurs, entre les toilettes et les cuisines, je ne trouve pas que ma liberté soit respectée.

Edit: sur son blog, foodgeek donne l'adresse d'un site qui recense tous les restaurants et cafés sans fumée!

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